mercredi 24 février 2010 par Le nouveau navire

Les Eléphants ont fait une prestation mi-figue, mi-raisin à la dernière Can de Cabinda en Angola. Didier Drogba et ses amis sont les premiers responsables de l'élimination prématurée des pachydermes qui partaient favoris. Le capitaine des Eléphants a, au nom des joueurs, demandé pardon au peuple ivoirien. Y a-t-il mieux que cela ? Apparemment cette page doit être tournée pour construire le futur. Jacques Bernard Anouma porte certes le chapeau de la débâcle administrative mais, il y a des manières de le traduire. En quoi la vie privée de sa famille doit-elle être étalée dans la presse à travers des dénonciations calomnieuses ? L'auteur de l'article cherche-t-il à livrer le président de la Fif et sa famille à la vindicte populaire ? La réponse à cette interrogation coule de source. A moins que derrière cet article qui frise le chantage, l'auteur attend en retour espèces sonnantes et trébuchantes.

Les Ivoiriens qui ont un amour fou pour le football savaient que le premier responsable de la maison de verre (Fif) doit rendre compte sur ce point, il a même annoncé un débat national sur l'équipe nationale. Chacun aura son mot à dire pour la construction de l'équipe nationale. Le confrère gagnerait à s'attaquer au fond et à la forme de la débâcle et apporter une solution au lieu de s'en prendre à la famille du président de la Fif à travers sa fille Stéphanie... L'objectif visé par le confrère est ailleurs et très loin d'informer les vrais patriotes qui aiment leur pays et les Eléphants.

Sériba Koné

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