lundi 14 décembre 2009 par Le Journal De L'Economie

Le business du vivrier leur colle à la peau. Originaires du centre ouest de la Côte d'Ivoire, les femmes Gouro n'ont pas usurpé leur omniprésence et leur hégémonie sur ce secteur. Rétrospective sur une success story écrite par la force de la détermination.

Quand on demande à Mme Tah Lou Irié, PCA du marché Gouro d'Adjamé Roxy, le plus grand marché de vivrier de Côte d'Ivoire, ce qui explique la création de ce marché, sa réponse est sans équivoque. C'est pour permettre à la Côte d'Ivoire de ne pas connaître la famine .

Par Marius Nouza

marius.nouza@jde-ci.com

Lire la suite de cet article dans le JDE n°042 du lundi 14 au dimanche 20 décembre 2009

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