mardi 29 septembre 2009 par Le Temps

Pendant que le pays est à la recherche de fonds nécessaires pour permettre l'effectivité des élections, MM. Konan Bedié et Alassane Ouattara, les 2 ennemis d'hier aujourd'hui, mariés pour la cause de la déstabilisation, font le tour de la Côte d'Ivoire promettant monts et merveilles (encore des mirages) tout en injuriant le Président Laurent Gbagbo et menacer le Fpi. Aussi en tant qu'ivoirienne donc fille de ce pays et de surcroît Présidente nationale du Comité citoyen pour la victoire de Laurent Gbagbo, nous ne pouvons nous taire et laisser faire. Car comment comprendre et expliquer qu'on ne reconnaisse pas au Président Laurent Gbagbo, la grande valeur de ses actes, tous ses efforts de paix, posés dont l'un des nombreux bénéfices le plus récent est l'octroi de l'annulation de 123 milliards de Fcfa de dettes ivoiriennes par l'administration Obama. Au lieu de chanter Hosanna et gloire à Dieu, ces derniers cherchent plutôt à casser des graines sur le dos du Président Laurent Gbagbo en disant qu'il n'a rien fait aux Usa. Est-ce cela aimer son pays ? Un pays qu'on aspire gouverner. Soyons sérieux, car si les Usa annulent une dette ivoirienne, cela devait plutôt réjouir les politiciens ivoiriens et surtout reconnaitre que cela s'est fait au moins sous le pouvoir et l'administration Laurent Gbagbo au lieu d'épiloguer sur le sexe des anges. Car cela démontre à plus d'un titre encore que ces 2 politiciens sont des apprentis politiciens, qui ne savent pas reconnaitre les mérites de l'adversaire. La politique, ce n'est pas la rancune, les fausses promesses, les injures. Quand on se proclame être le sosie politique de Barack Obama comme veut le démontrer vainement Alassane Ouattara, on ne fait pas de promesses fallacieuses, on ne menace pas. Quand on se dit sage, homme de paix et grand politicien comme le veut le faire croire vainement Konan Bédié, on ne tient pas des discours de guerre, on n'insulte pas après s'être baigné dans un verre. L'important aujourd'hui est de chercher des solutions quant à la l'effectivité des élections.
La Cei a, de nos jours besoin, de 10 milliards de Fcfa seulement pour boucler le dossier des élections. Si on a des centaines de milliards et qu'on les distribue virtuellement partout dans la Côte d'Ivoire, et qu'on veuille que les dates des élections soient obligatoirement respectées, on peut dégager au moins 10 petits milliards. Surtout qu'on se dit sûr de gagner. Et si on ne peut pas le faire, alors on se tait et on regarde ceux qui aiment leur pays se battre pour trouver les moyens nécessaires à l'organisation des élections.
D'ailleurs, pour ce qui est des dates des élections, le Comité citoyen pour la victoire de Laurent Gbagbo estime qu'il faut éviter la charrue avant les b?ufs. L'important n'est pas de courir, mais de savoir arriver à bon port. Le Président Houphouët dont tous ces opposants se réclament ne disait-il pas que les hommes ont inventé de grandes choses, ils ont marché sur la lune, mais personne n'a encore fabriqué un flamboyant. Pour dire que la date du 29 novembre ne doit pas être un blocage. Si les moyens sont là et que la Cei et tous les organismes intervenant dans les élections, achèvent le travail à eux confié sainement, le Président Laurent Gbagbo n'a aucune crainte d'aller aux élections, et avec lui le Fpi et le Comité citoyen pour la victoire de Laurent Gbagbo. Nous au Comité citoyen, nous sommes prêts même si on nous dit que les élections c'est pour demain matin, on y va et on gagne car on n'a pas d'adversaires et nous savons qui nous suivons, d'où nous venons et où nous allons. Les quelques ivoiriens qui hésiteraient encore ou qui se sont laissés miroiter par les promesses fallacieuses et mirobolantes de Bédié et Alassane Ouattara, peuvent revenir au bercail, le train de la victoire de Laurent Gbagbo est ouvert à tous et il les accueillera à bras ouverts car là au moins, ils auront fait le bon choix. Au lieu de suivre des gens qui tiennent des discours de Nouchi et qui se rappellent à plus de 60 ans qu'il existe une jeunesse en Côte d'ivoire. Cherchons plutôt à récréer la cohésion nationale afin de trouver ensemble des moyens pratiques pour l'organisation d'une élection juste, transparente dont les résultats seront acceptés par tous au lieu de chercher des boutons dans le dos de l'autre. C'est cela aussi la vraie démocratie.

Pour le Comité citoyen pour la victoire de Laurent Gbagbo

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