lundi 6 juillet 2009 par Notre Voie

Nathalie Pongathié, la responsable du Service autonome pour la promotion de l'enseignement privé (SAPEP), ne sera pas seule dans sa lutte contre les fondateurs des écoles boutiques et clandestines qui refusent de régulariser la situation de leurs établissements. Alexis Babo Kosso, fondateur du Lycée social Simone Ehivet Gbagbo de Port-Bouët et président de la Convention pour une nouvelle école privée en Côte d'Ivoire (qui regroupe plus d'une centaine de fondateurs), a exprimé vendredi dernier, à Abidjan, tout le soutien des fondateurs des écoles privées laïques à Mme Pongathié. L'anarchie ne favorise pas le développement d'une école privée d'excellence. Beaucoup de choses échappent au SAPEP. La brigade de lutte contre les écoles clandestines est la bienvenue. Nous avons compris le bien fondé de la régularisation d'ouverture. Nous serons désormais aux cotés du SAPEP pour combattre l'anarchie, localiser les écoles qui ne méritent pas d'exister et accompagner ce service dans la fermeture de ces établissements. Nous devons mériter la considération et le respect de la tutelle?, a indiqué le président de cette Convention qui a plaidé auprès du SAPEP pour qu'il aide les établissements qui ont un code provisoire à s'équiper. Tous les fondateurs qui ne louent pas des locaux mais qui ont construit leurs propres établissements doivent être aidés. Nous remercions Mme Pongathié qui a aidé des fondateurs à améliorer leurs locaux, qui veut aider financièrement les fondateurs en difficulté à condition qu'ils mettent du sérieux dans ce qu'ils font?, a déclaré Alexis Babo Kosso.


C.B.

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