Le terrain Ziguinchor de Marcory a servi de cadre à la cérémonie d'investiture officielle du club de soutien ''femmes nouvelles pour Bédié et le PDCI'' le samedi dernier. Au-delà de l'investiture du bureau, la cérémonie a enregistré plusieurs interventions. Ainsi après le mot de bienvenue de la présidente du comité d'organisation, Mme Yao Rachelle, Mme Boti Noëlle qui préside aux destinées du club a indiqué que les ''Femmes nouvelles pour Bédié et le PDCI'' se veut une force de mobilisation pour le PDCI . "Nos femmes ont décidé de sortir au grand jour pour se faire connaître officiellement et par la même occasion, témoigner leur attachement à leur président, SEM. Henri Konan Bédié et au PDCI qu'il dirige avec sagesse. Elles sont déterminées à conduire le président Bédié à la victoire prochaine" a-t-elle dit. A sa suite, Sébastien K. Koliabo qui représentait pour la circonstance le président National de la JPDCI KKB, a salué le choix des femmes à l'honneur. "Vous avez fait le bon choix. Car seul le PDCI avec Henri Konan Bédié peut garantir un avenir certain à la Côte d'Ivoire". Pour sa part, Mme Koné Maïmouna représentant Mme Dao Coulibaly, présidente nationale de l'UFPDCI, a exhorté les Femmes nouvelles'' à demeurer unies et à faire en sorte que Bédié revienne au pouvoir''. M. Kablan Stéphane, qui représentait le président de la cérémonie, M. Anoh Jérôme, lui a emboîté le pas. "Faites revenir Bédié au pouvoir et chassez ces apprentis politiciens qui ont pour système de gestion les détournements colossaux de deniers publics, le mensonge et la mauvaise foi". Quant à la marraine N'dri Yoman Thérèse, membre du bureau politique du PDCI et vice-présidente de l'UFPDCI, chargée de la santé, elle a lancé un appel à ses filleules. "Soyez unies, solidaires, dynamiques et parcourez Marcory pour permettre à Bédié de gagner. Car s'il n'est pas élu, le pays plongera dans le néant" a-t-elle averti. Prenant la parole en dernier, le délégué communal, M. Assémien Amon Léon, a invité tout le monde à se faire enrôler le plus rapidement possible.
François Bécanthy