samedi 28 juin 2008 par Le Patriote

C'est aujourd'hui ! A partir de 20 h, sous des lambris dorés et dans un Palais des congrès de l'Hôtel Ivoire, à Cocody, illuminé par la présence de la crème des journalistes de Côte d'Ivoire, que se tiendra la onzième Soirée des Ebony. Au cours de cette "nuit de la Communication" qui s'est muée en un gigantesque gala de prestige- glamour et paillette- le Conseil exécutif de l'Union Nationale des Journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), présidé par Amos Béonaho, procédera à la distinction des journalistes les plus méritants du Concours Ebony 2008. Depuis sa création, le 23 novembre 1993, jusqu'à ce jour, l'UNJCI a acquis ses lettres de noblesse. Et ce, en dépit de la succession des Conseils Exécutifs à la tête de l'union ( Diégou Bailly- 1993- 1998- ; Honorat De Yédagne-1998- 2003- et celui conduit par Amos Béonaho depuis juillet 2003). La soirée des Ebony et surtout le prix éponyme, qui porte le nom du défunt journaliste autodidacte ivoirien, Noël X. Ebony (Essy Kouamé à l'Etat-civil) a atteint une notoriété, à nuls égards, en Afrique subsaharienne. A quelques heures de cette solennité de récompense des meilleurs journalistes de l'année, toutes les rédactions, même celles dont les animateurs n'ont pas postulé retiennent leur souffle. Dans la tête de tous, une question semble trottiner: Quel Ebony pour l'année 2008 ? En formulant cette interrogation, l'idée, loin s'en faut, n'est pas de deviner l'identité du Super Ebony 2008 qui succèdera à Touré Moussa du quotidien Nord- Sud (Super Ebony 2007) qui a gagné la voiture et la villa de vingt millions mis dans la cagnotte par l'UNJCI et ses partenaires. Formuler cette interrogation, revient à se demander quel journaliste ivoirien se mettra à l'abri des contingences sociales majeures cette année. Nul ne l'ignore, depuis "le Printemps de la presse ivoirienne", au début des années 90, jusqu'à ce jour, la presse ivoirienne a amorcé le virage du professionnalisme. Mais, le social des animateurs des médias n'a pas encore connu une amélioration notable, même si, avec l'avènement du ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, un traitement saC'est aujourd'hui ! A partir de 20 h, sous des lambris dorés et dans un Palais des congrès de l'Hôtel Ivoire, à Cocody, illuminé par la présence de la crème des journalistes de Côte d'Ivoire, que se tiendra la onzième Soirée des Ebony. Au cours de cette "nuit de la Communication" qui s'est muée en un gigantesque gala de prestige- glamour et paillette- le Conseil exécutif de l'Union Nationale des Journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI), présidé par Amos Béonaho, procédera à la distinction des journalistes les plus méritants du Concours Ebony 2008. Depuis sa création, le 23 novembre 1993, jusqu'à ce jour, l'UNJCI a acquis ses lettres de noblesse. Et ce, en dépit de la succession des Conseils Exécutifs à la tête de l'union ( Diégou Bailly- 1993- 1998- ; Honorat De Yédagne-1998- 2003- et celui conduit par Amos Béonaho depuis juillet 2003). La soirée des Ebony et surtout le prix éponyme, qui porte le nom du défunt journaliste autodidacte ivoirien, Noël X. Ebony (Essy Kouamé à l'Etat-civil) a atteint une notoriété, à nuls égards, en Afrique subsaharienne. A quelques heures de cette solennité de récompense des meilleurs journalistes de l'année, toutes les rédactions, même celles dont les animateurs n'ont pas postulé retiennent leur souffle. Dans la tête de tous, une question semble trottiner: Quel Ebony pour l'année 2008 ? En formulant cette interrogation, l'idée, loin s'en faut, n'est pas de deviner l'identité du Super Ebony 2008 qui succèdera à Touré Moussa du quotidien Nord- Sud (Super Ebony 2007) qui a gagné la voiture et la villa de vingt millions mis dans la cagnotte par l'UNJCI et ses partenaires. Formuler cette interrogation, revient à se demander quel journaliste ivoirien se mettra à l'abri des contingences sociales majeures cette année. Nul ne l'ignore, depuis "le Printemps de la presse ivoirienne", au début des années 90, jusqu'à ce jour, la presse ivoirienne a amorcé le virage du professionnalisme. Mais, le social des animateurs des médias n'a pas encore connu une amélioration notable, même si, avec l'avènement du ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, un traitement salarial adéquat émanant d'entreprises légalement constituées est entrain de se mettre en place. Si le concours Ebony connaît un engouement, au- dessus de la moyenne aujourd'hui, c'est parce que chaque journaliste veut, en gagnant la villa et la voiture, fuir sa situation précaire. Mais, l'autre question qui effleure les esprits est aussi : Et si un jury permanent évaluait le travail des journalistes sur toute l'année ? Que de juger la valeur intrinsèque sur seulement une Enquête, une Interview, et un Reportage.

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