mercredi 18 juin 2008 par Le Patriote

Avec la relance économique et la sortie de crise, il est de plus en plus question d'assainissement des finances publiques. En vue donc de préparer une évaluation de la gestion des dépenses publiques, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, la Banque Africaines de Développement et la Commission européenne ont établi une revue de la gestion du système des finances publiques et des passations des marchés (PEMFAR). Pour la restitution de ce diagnostic aux autorités ivoiriennes, un séminaire a eu lieu lundi dernier à l'immeuble CRRAE-Versus Bank au Plateau. Ce programme a pour objectifs de présenter les développements macroéconomiques et fiscaux récents et les perspectives à moyen terme telles que définies dans la stratégie et le programme économique du gouvernement, une analyse détaillée des tendances des dépenses publiques et une évaluation de la viabilité budgétaire. A l'ouverture, M. Daniel Sellen, représentant de la Banque Mondiale, a souhaité que le gouvernement ivoirien s'implique fortement dans cette revue en vue de consolider les pratiques de bonne gouvernance existantes, opérer les réformes utiles, judicieuses et nécessaires. Ensuite, il a réitéré la détermination des institutions financières à soutenir le gouvernement ivoirien. La Banque Mondiale vient d'accorder un don de 13 millions de dollars pour soutenir le gouvernement dans la mise en ?uvre des reformes dans les secteurs des finances publiques du café-cacao et de l'énergie a-t-il souligné. Le ministre de l'économie et des finances, pour sa part, a rassuré les bailleurs de fonds et promis de rendre les différentes administrations performantes. Pour promouvoir la croissance économique, il faut aider au renforcement de la bonne gouvernance. Elle est la solution à la réduction de la pauvreté a ajouté Charles Diby Koffi. A l'en croire, les conclusions et recommandations du séminaire serviront de fondement au gouvernement pour lutter contre la pauvreté . Abondant dans le même sens, le ministre d'Etat, ministre du plan et du développement, Bohoun Bouabré a noté que les recommandations devront garantir une gestion efficace et efficiente des finances publiques. Il a proposé qu'un rapport sur la gestion soit publié afin de déceler les mauvaises graines. La mauvaise gestion et l'absence de la responsabilité sont des pratiques qui doivent être combattues pour sortir la Côte d'ivoire de la pauvreté. L'administration doit lutter contre la corruption, l'insouciance, le non respect du bien public a noté le ministre du plan.
Pour rappel, le programme PEMFAR a démarré en novembre 2007 dans le contexte de l'apurement des arriérés vis-vis de la Banque Mondiale et de la BAD. Avec la relance économique et la sortie de crise, il est de plus en plus question d'assainissement des finances publiques. En vue donc de préparer une évaluation de la gestion des dépenses publiques, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, la Banque Africaines de Développement et la Commission européenne ont établi une revue de la gestion du système des finances publiques et des passations des marchés (PEMFAR). Pour la restitution de ce diagnostic aux autorités ivoiriennes, un séminaire a eu lieu lundi dernier à l'immeuble CRRAE-Versus Bank au Plateau. Ce programme a pour objectifs de présenter les développements macroéconomiques et fiscaux récents et les perspectives à moyen terme telles que définies dans la stratégie et le programme économique du gouvernement, une analyse détaillée des tendances des dépenses publiques et une évaluation de la viabilité budgétaire. A l'ouverture, M. Daniel Sellen, représentant de la Banque Mondiale, a souhaité que le gouvernement ivoirien s'implique fortement dans cette revue en vue de consolider les pratiques de bonne gouvernance existantes, opérer les réformes utiles, judicieuses et nécessaires. Ensuite, il a réitéré la détermination des institutions financières à soutenir le gouvernement ivoirien. La Banque Mondiale vient d'accorder un don de 13 millions de dollars pour soutenir le gouvernement dans la mise en ?uvre des reformes dans les secteurs des finances publiques du café-cacao et de l'énergie a-t-il souligné. Le ministre de l'économie et des finances, pour sa part, a rassuré les bailleurs de fonds et promis de rendre les différentes administrations performantes. Pour promouvoir la croissance économique, il faut aider au renforcement de la bonne gouvernance. Elle est la solution à la réduction de la pauvreté a ajouté Charles Diby Koffi. A l'en croire, les conclusions et recommandations du séminaire serviront de fondement au gouvernement pour lutter contre la pauvreté . Abondant dans le même sens, le ministre d'Etat, ministre du plan et du développement, Bohoun Bouabré a noté que les recommandations devront garantir une gestion efficace et efficiente des finances publiques. Il a proposé qu'un rapport sur la gestion soit publié afin de déceler les mauvaises graines. La mauvaise gestion et l'absence de la responsabilité sont des pratiques qui doivent être combattues pour sortir la Côte d'ivoire de la pauvreté. L'administration doit lutter contre la corruption, l'insouciance, le non respect du bien public a noté le ministre du plan.
Pour rappel, le programme PEMFAR a démarré en novembre 2007 dans le contexte de l'apurement des arriérés vis-vis de la Banque Mondiale et de la BAD. SS

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