mercredi 31 octobre 2007 par Fraternité Matin

Tous les grands axes de développement du district seront identifiés et portés à la connaissance de ses populations.
Tous les grands axes de développement du district seront identifiés et portés à la connaissance de ses populations.
Le lancement du plan stratégique de développement du district de Yamoussoukro a eu lieu hier à la Fondation Félix Houphouet-Boigny. En présence des élus politiques, des responsables administratifs et coutumiers, des cadres et des populations du district venues des cinq sous-préfectures qui composent cette entité. Comme l'a dit le gouverneur N'Dri Appolinaire à l'ouverture des travaux de lancement, chacun devra s'interroger en permanence sur le type d'aménagement du territoire à l'horizon 2010, 2015, 2020. Car pour lui, ce plan permettra de mieux comprendre les dynamiques locales. Il sera mis à la disposition des autorités comme un instrument de pilotage du développement économique et social du district de Yamoussoukro. D'où son insistance à impliquer tout le monde. Selon le 2è vice gouverneur, Kouamé Loukou Léon, président du comité d'organisation, la réalisation de l'étude de ce plan s'étendra sur six mois et comprendra quatre phases. La première consiste à collecter et à traiter des données démographiques et socio-économiques du district. Elle aboutira à l'élaboration d'un diagnostic participatif. La deuxième étape sera consacrée à la proposition d'une stratégie et d'un programme d'actions devant permettre le développement du district sur la base des données collectées. Il s'agit, a-t-il dit, de la phase dite de planification. La troisième est relative à la programmation d'un certain nombre d'opérations et d'actions de développement. La dernière phase est la mise en oeuvre de ces opérations et actions. Pour y parvenir, 10 commissions sont à pied d'?uvre. Quant au conseiller technique, représentant le ministre d'Etat, ministre du Plan et du Développement, Iritié Bruno Marcel, s'est réjoui de ce que le gouverneur ait privilégié la réflexion, avant l'action. Car cela ne va pas de soi dans les collectivités. Pour lui, il est nécessaire de concevoir d'abord avant d'exécuter.
Quant au directeur général de la Décentralisation et du Développement local, Gohourou Parfait, il a déploré le fait que tous les élus locaux ne font que des programmes triennaux, plutôt que de concevoir des plans de développement pour avoir une meilleure lisibilité dans la conduite des opérations au cours de leur mandat. Il en a profité pour exhorter les élus à privilégier cette voie, en tirant bénéfice de l'expertise du BNETD.
Mme Jeanne Gogoua, 1er adjoint au maire, a salué cette belle initiative, avant de promettre que la mairie jouera pleinement sa partition afin que cette opération connaisse le succès espéré.
N'Dri Célestin
Correspondant régional
Le lancement du plan stratégique de développement du district de Yamoussoukro a eu lieu hier à la Fondation Félix Houphouet-Boigny. En présence des élus politiques, des responsables administratifs et coutumiers, des cadres et des populations du district venues des cinq sous-préfectures qui composent cette entité. Comme l'a dit le gouverneur N'Dri Appolinaire à l'ouverture des travaux de lancement, chacun devra s'interroger en permanence sur le type d'aménagement du territoire à l'horizon 2010, 2015, 2020. Car pour lui, ce plan permettra de mieux comprendre les dynamiques locales. Il sera mis à la disposition des autorités comme un instrument de pilotage du développement économique et social du district de Yamoussoukro. D'où son insistance à impliquer tout le monde.
Selon le 2è vice gouverneur, Kouamé Loukou Léon, président du comité d'organisation, la réalisation de l'étude de ce plan s'étendra sur six mois et comprendra quatre phases. La première consiste à collecter et à traiter des données démographiques et socio-économiques du district. Elle aboutira à l'élaboration d'un diagnostic participatif. La deuxième étape sera consacrée à la proposition d'une stratégie et d'un programme d'actions devant permettre le développement du district sur la base des données collectées. Il s'agit, a-t-il dit, de la phase dite de planification. La troisième est relative à la programmation d'un certain nombre d'opérations et d'actions de développement. La dernière phase est la mise en oeuvre de ces opérations et actions.
Pour y parvenir, 10 commissions sont à pied d'?uvre. Quant au conseiller technique, représentant le ministre d'Etat, ministre du Plan et du Développement, Iritié Bruno Marcel, s'est réjoui de ce que le gouverneur ait privilégié la réflexion, avant l'action. Car cela ne va pas de soi dans les collectivités. Pour lui, il est nécessaire de concevoir d'abord avant d'exécuter.
Quant au directeur général de la Décentralisation et du Développement local, Gohourou Parfait, il a déploré le fait que tous les élus locaux ne font que des programmes triennaux, plutôt que de concevoir des plans de développement pour avoir une meilleure lisibilité dans la conduite des opérations au cours de leur mandat. Il en a profité pour exhorter les élus à privilégier cette voie, en tirant bénéfice de l'expertise du BNETD.
Mme Jeanne Gogoua, 1er adjoint au maire, a salué cette belle initiative, avant de promettre que la mairie jouera pleinement sa partition afin que cette opération connaisse le succès espéré.

N'Dri Célestin
Correspondant régional

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