samedi 13 octobre 2007 par Notre Voie

John Chahin Sombo conduisait la délégation ivoirienne. Elle était composée de 12 personnes dont un conducteur nommé Ganiou. Elle a quitté Abidjan en début d'après-midi de jeudi pour atteindre à Accra à 23h.

Ce jour, à l'escale de Grand-Bassam, cette équipe a été reçue par Innocent Akoï, président du Conseil général de Grand-Bassam. Il a même offert de quoi se mettre sous la dent aux voyageurs.

L'écart entre la valeur de la monnaie ghanéenne, le cedi, et la franc CFA est relativement énorme. Pour 1 000 FCFA, vous avez 20 000 cedis. Du coup, tous les Ivoiriens étaient devenus multimillionnaires.

Pas de taxi-compteur dans la ville d'Accra. Toute course se négocie, les frais de transport se fixant toujours à la tête du client. Malheur à vous si vous êtes un Ivoirien « gaou ».

A Accra, les maquis et autres espaces chauds ne longent pas les rues. Contrairement à Abidjan, c'est une autre et quasi triste réalité pour les noceurs.

Denise Marie Tongni est une Togolaise et surtout une des fanatiques de « Tonnerre ». Cette secrétaire générale de l'Ong Atapan qui dit soutenir « La flamme de la paix » a effectué le déplacement jusqu'à Accra pour négocier le futur enregistrement de l'émission à Lomé. Elle a reçu le OK des Ivoiriens.

Le Centre of language & professional studies dirigé par un « ami » des Ivoiriens, Iddrisu Mumuni, a reçu la visite de John Chahin et ses hommes. Tous ses étudiants, Ivoiriens et non-Ivoiriens, étaient réunis autour de lui.

Durant le séjour (3), le Maquis Tante Marie de l'Ivoirienne Yvonne Konan, un des partenaires de « Tonnerre », a gracieusement offert tous les repas à la délégation ivoirienne. Même générosité chez Diplomats beach resort, un autre partenaire, où les chambres étaient gratuites.




Un sélection de S.A. à Accra

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