lundi 17 septembre 2007 par L'intelligent d'Abidjan

Pis les Ivoiriens se sentent abusés et bernés, en dépit des actions de propagande et de communication politique initiées par les tenants actuels du pouvoir. Les militaires revendiquent, les enseignants protestent, les malades meurent parce que les médecins sont en grève, la filière café cacao cafouille, les transporteurs sont divisés sur la question du nouveau permis de conduire, les prix des denrées alimentaires flambent, l'identification n'a toujours pas démarré et les élections deviennent incertaines dans les délais préétablis ; la question des grades que je n'aurais jamais créée moi-même, en tant que militaire dirigeant d'un soulèvement populaire, n'est toujours pas résolue etc.Bref, le tableau est sombre et inquiétant. Je dénonce, avec la plus grande énergie, cette façon de gouverner et de détourner l'attention des Ivoiriens des questions essentielles. J'interpelle à nouveau l'ensemble des acteurs politiques Ivoiriens sur la nécessité de cesser de mentir au peuple.

www.225.ci - A propos - Plan du site - Questions / Réponses © 2023