lundi 10 septembre 2007 par Le Nouveau Réveil

Il était une fois un procureur corrompu. Un jour, le parrain de la mafia locale qui le soudoyait, commit un crime. Le procureur corrompu était coincé. Le droit ou son ventre ? Il choisit les deux. Il fit un réquisitoire musclé contre le "padrino" mais à la fin requit sa relaxe. Comme ça tout le monde était content. Le justiciable avait apprécié son réquisitoire osé. Le mafieux était libre. Et son ventre ne risquait pas de maigrir. Il en est du procureur corrompu comme de notre faux logo national. Il a dressé un tableau très sombre de la refondation. Mais tout patriote qu'il est, il tient à ce que son ventre soit toujours bien plein. Donc il plaide pour que le régime demeure. Ce genre d'homme ne mérite que mépris !
André Silver Konan

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