Les grandes vacances semblent occasionner le déficit d'inspiration chez certains journalistes qui veulent toujours donner dans le sensationnel et la désinformation.
En effet, depuis quelques jours, Monsieur Ibrahim Coulibaly est dans le viseur de ces canards qui affirment sans sourciller qu'il entreprendrait des activités subversives simultanément dans la zone gouvernementale et la zone sous contrôle des rebelles.
Ces informations tendancieuses voire diffamatoires distillées dans certains quotidiens de la place pour lesquels nous avons beaucoup de respect sont de nature à porter une atteinte à l'honorabilité et à la probité de Monsieur Ibrahim Coulibaly.
Par ailleurs, ces informations, dénuées de tout crédit, ne sont rien d'autres que l'expression d'une victimisation de ceux qui sont les inspirateurs et les commanditaires de tels articles qui tapis dans l'ombre orchestrent de tels cabales à des fins clairement connus de tous.
Nous marquons donc notre vive indignation face à de tels agissements qui rament à contre courant de la concorde, de la réconciliation nationale et de la paix définitive en Côte d'Ivoire auxquelles Monsieur Ibrahim Coulibaly n'a de cesse exprimé son attachement.
En réalité, de tels écrits n'ont pour seul but que de présenter Monsieur Ibrahim Coulibaly comme le va-t-en guerre, le fossoyeur de la paix. Sinon, comment comprendre qu'on enfreigne à la déontologie journalistique qui requiert l'équilibre de l'information, l'honnêteté et le respect de la vérité, l'impartialité si tant est que la volonté du journaliste n'était de salir la réputation d'un homme qui s'est offert en sacrifice pour sa patrie, la Côte d'Ivoire.
Monsieur Ibrahim Coulibaly a suffisamment fait montre de sa bonne foi et de sa volonté ferme de contribuer à redonner à la Côte d'Ivoire son image d'antan afin que celle-ci retrouve la place qui est la sienne dans le concert des nations.
Par voie de conséquence, Monsieur Ibrahim Coulibaly ne se reconnaît ni de prêt, ni de loin dans ces informations publiées dans certains quotidiens de la place les 28 et 29 août derniers. De surcroît, Monsieur Ibrahim Coulibaly voudrait en appeler à la vigilance de l'ensemble des ivoiriens. Car, les vrais problèmes qui ont entraîné la crise du 19 septembre 2002 sont toujours en
suspens. Au lieu d'y trouver des solutions durables, certains individus versent dans la diversion pis dans des man?uvres dilatoires.
En définitive, Monsieur Ibrahim Coulibaly exhorte la presse à plus de responsabilité et à plus de professionnalisme dans le traitement de l'information, gage d'une stabilité et d'une paix durable.
Ben Rassoul Timité