vendredi 27 juillet 2007 par Notre Voie

La Confédération des fédérations nationale des filières bétail viande des pays membres de l'Uemoa (Cofenabvi-pam-Uemoa), les importateurs de bétail et la mairie de Port-Bouët ont accordé leurs violons sur le différend concernant le prélèvement de la taxe sur le bétail au parc à bétail de ladite commune. C'était le mardi 24 juillet, au cabinet du ministère de la Production animale et des Ressources halieutiques, à la Caistab, à Abidjan-Plateau. La rencontre a réuni les représentants des importateurs de bétail du Burkina Faso, du Mali, du Niger et du Togo. Ainsi que les représentants des ambassades des trois premiers pays cités.
C'est le 1er février 2007 que la Cofenabvi-Pam-Uemoa et la mairie de Port-Bouët ont signé une convection qui donne le droit à la confédération de prélever 50 FCFA par mouton et 100 FCFA par b?uf au parc à bétail. Mais tous les importateurs ne s'exécutaient pas à cause de l'intoxication dans le secteur. Après la mission des importateurs auprès de leurs ressortissants à Abidjan, nous nous retrouvons pour faire la paix. Et faire comprendre aux importateurs la nécessité de payer les taxes?, a déclaré le président de la Cofenabvi, Sawadogo Issiaka. M. Amadou Barry, représentant malien d'importateusr de bétails a déclaré que ses compatriotes n'hésiteraient plus à payer la taxe chez la Cofenabvi. Le chef de service d'hygiène et assainissement de la mairie de Port-Bouët Ebouo Martin s'est réjoui du rendement de la Confédération sur le prélèvement des taxes. Le représentant de l'ambassadeur du Mali, Sidi Modi Sidibé a, lui, conseillé aux acteurs de prendre des décisions qui vont toujours dans l'intérêt des populations.

Gomond Edmond

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