jeudi 19 juillet 2007 par Le Patriote

Nous sommes vraiment tristes de le relever, mais pour justifier son départ du RDR, Ali Khalil Kéita prétend, entre autres absurdités, que le RDR n'a rien fait pour lui. L'homme ayant séjourné ces dernières années sur notre territoire, la Délégation générale du RDR aux Etats-Unis d'Amérique ne pouvait pas s'empêcher de réagir. Nous savions l'homme mégalomane et égocentrique à souhait, et nous découvrons avec stupeur qu'il est subitement devenu amnésique, bref, le prototype de la misère morale faite homme. C'est pourquoi, les militants et sympathisants du RDR-USA n'éprouvent aucun mépris pour lui, mais plutôt, le regardent avec condescendance.

Comment Ali Kéita a vécu aux frais du parti pendant son séjour américain ?

Arrivé en exil au pays de l'Oncle Sam, Ali Kéita a été accueilli et conduit chez notre amie Matrou Diaby, épouse Touré, la Coordinatrice du RFR de la ville de New York. Il y a été gracieusement logé, blanchi et nourri pendant deux longs mois. Ne pensant qu'à l'intérêt du parti, elle a ainsi sacrifié son travail, car ces deux mois de congés forcés ne pouvaient pas lui être payés. Conscient de cela, notre homme ne tarissait pas d'éloges pour sa bienfaitrice. Il lui trouvait toutes les qualités du monde. Enfin, jusqu'à ce qu'elle juge qu'il s'était suffisamment acclimaté pour voler de ses propres ailes. Car lorsqu'elle lui fit part de son intention de reprendre son service, leurs rapports se sont immédiatement détériorés. C'est ainsi que Ali Kéita quitta New York city pour New Jersey, et c'est ainsi qu'il remercia les responsables du parti à New York pour leur hospitalité.
Pourtant les militants et sympathisants de New York ont toujours été à ses petits soins, prenant entièrement en charge ses billets d'avion, ses déplacements en train, par la route, ses soins médicaux, etc. Ali Kéita ne se targue-t-il pas d'avoir été opéré du genou dans la même clinique que le roi Pélé ? Peut-être oublie-t-il de dire qu'il le doit à Dr Traoré, qui y exerce en qualité de chirurgien...
Pareil à Atlanta, où ses frais de séjour ont toujours entièrement été assurés par la section de cette ville, ou encore à Philadelphie où une levée de fonds a été organisée pour lui.
A New Jersey, il a vécu pendant trois ans chez des militants, avant de se brouiller avec eux, quand eux aussi lui ont demandé de se prendre en charge comme un grand.
Bref, nous ne saurions citer tous ceux qui ont aidé ce monsieur à cause du parti et de son président.

Les dessous de
sa mise à l'écart

Ici, aux USA, Ali Kéita se croyait à Abidjan dans les années 1990 où, sous le pseudonyme de Marie Chantal Ozoua, il faisait chanter de hauts cadres de l'administration publique et des directeurs de sociétés avec ses pseudo dossiers fumants sur leurs magouilles. C'est ainsi qu'un jour, un certain 18 Juin 2004, il nous appelle au téléphone pour nous dire que de source sûre, il aurait des informations selon lesquelles nous avions l'intention d'attenter à sa vie, et qu'il était sur le point de saisir le FBI Comprenant que le chien ne change jamais sa façon de s'asseoir , nous avons sur le champ décidé de couper tout contact avec lui et de reprendre le don personnel de mille dollars que nous avions chargé les responsables de New York de lui remettre. Plus précisément le camarade Fofana Karamoko. Ainsi donc, c'est la mise à nu des multiples facettes d'Ali Kéita par ses propres agissements, qui vont briser et faire disparaître l'élan de solidarité agissante et de sympathie qui s'était créée autour de lui. A tel point que l'homme avait fini dans les locaux de l'Assistance Publique. Mais, même là encore où la vie est subventionnée Ali Kéita souffrait le martyre. Et c'est à ce moment que les militants FPI du New Jersey entreprennent de le récupérer. La suite, on la connaît
Pour toutes ces raisons, nous ne pouvons que souhaiter bon vent à l'ANCI. Il y a de la place pour toutes les sensibilités sur l'échiquier politique national. Nous attendons avec impatience de voir comment les feuilles mortes brûleront la forêt. Mais en attendant, nous, militants du RDR aux USA, nous avons une doléance à formuler : que les attaques en dessous de la ceinture cessent pour faire place aux débats d'idées. La Côte d'Ivoire n'en a que trop souffert. Le terrain, c'est là que ça se passe.
Inza Camara
Délégué Général RDR / USA
267-636-9795

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