Recevant ses chefs militaires quelques jours après l'attentat contre le Fokker 100, le Premier ministre a pris à témoin l'assistance pour dire que Chérif Ousmane et Koné Zakaria sont ses petits et qu'ils lui sont fidèles. Il a ensuite plaisanté en indiquant que si Zakaria avait été présent à l'aéroport de Bouaké, il aurait peut-être déjoué l'attaque contre le Fokker 100 grâce à ses gris-gris et talismans.