Le Libanais de Gbagbo, star à Mossikro. Dimanche dernier, Elie Hallassou que les Ivoiriens appellent affectueusement le Libanais de Gbagbo, a participé aux côtés d'Emile Kima, au meeting de réconciliation du comité de soutien aux actions de Blaise Compaoré et de son parti, le congrès pour la démocratie et le progrès pour la démocratie et le progrès (CDP) à Mossikro (Attécoubé). Arrivé avec quelques minutes de retard, le président de l'Action citoyenne pour Gbagbo (ACG) a été invité à prendre aussitôt la parole, comme le prévoyait le programme. Fortement applaudi par la foule, il a expliqué aux Burkinabè que la Côte d'Ivoire est une terre d'hospitalité et d'intégration. ?'Vous et moi sommes le symbole de cette intégration'', a-t-il déclaré. Avant de demander tout naturellement que tous doivent soutenir Gbagbo, Soro et l'accord de Ouagadougou pour que la Côte d'Ivoire continue d'être cette terre paisible qui reçoit tout le monde.
Encore Théophile Kouamouo. Le journaliste français ( ?) d'origine camerounaise, actuel rédacteur en chef de ?'Le courrier d'Abidjan'' est de retour dans les rayons de librairie avec un autre essai. ?'La recolonisation de l'Afrique, le cas de la Côte d'Ivoire'', tel est le titre de son 2è livre après celui qu'il a publié en 2005 intitulé ?' la France que je combats''. Théophile Kouamouo écrit dans son 2è livre que ?'la logique globale des discours jusqu'à l'accord de Ouagadougou, c'est la France''. Comme à l'accoutumée, ce Camerounais qui a mordu à l'appât du régime Fpi a cette fois-ci encore attaqué la France. La gendarmerie d'Adjamé provoque de graves accidents. La brigade de gendarmerie d'Adjamé a érigé un barrage de contrôle de pièces de véhicules devant les locaux de ladite brigade. Tous les gbaka en partance pour Yopougon, à partir de 18 heures, sont soumis à une amende d'un montant de 500f pour franchir ce barrage. L'embouteillage de véhicules que cela crée tous les soirs provoque parfois de graves accidents au nez et à la barbe des gendarmes qui n'ont d'yeux que pour des jetons.
Mairie d'Issia. Récemment, le conseil municipal d'Issia a fait parler son c?ur en offrant au centre social et à l'institut de formation et d'éducation féminine (IFEF) de la ville, une subvention de 400 000 fcfa au titre de l'année en cours. C'est Mme Dédi Tapé Adèle, maire de la commune qui a remis en personne cette somme aux différents responsables de ces structures d'Etat, plus précisément à M.Gnaoré du centre social et à Mme Kian Marie de l'IFEF. Cette dernière, tout en exprimant leurs remerciements au conseil municipal, a indiqué les principales missions de l'IFEF : éduquer, former, informer la femme, la jeune fille afin de l'aider à améliorer son cadre de vie et susciter chez elle la volonté de se prendre en charge par des activités génératrices de revenus. Il faut indiquer que cette subvention annuelle représente une véritable bouffée d'oxygène pour ces deux centres auxquels les moyens de fonctionnement font cruellement défaut.