Je suis trop grosse?, je suis trop petite?, je ne supporte pas mes seins?, je suis grande?, je n'aime pas mon nez ou encore ma bouche?, Je suis je suis?, à n'en point finir. C'est vrai que nul n'est parfait mais ces petits défauts comme on les appelle, constituent notre particularité. Malheureusement, toutes les femmes n'acceptent pas cette situation aussi facilement. Alors qu'on a tendance à les négliger ou à dire qu'elles exagèrent, certaines vivent une vraie pathologie qui passe de petit complexe à une maladie psychiatrique, qu'on apparente à la dysmorphophobie, forme pathologique d'un complexe trop poussé. Les signes sont perceptibles à plusieurs mètres. Ces femmes fuient les fêtes pendant lesquelles tout le monde se montre sous son plus beau jour. On connaît l'astuce, vieille du temps de nos mères. Ou alors elles accusent des pieds d'athlètes, pour ne pas mettre des chaussures fermées et rester au lit. Cette astuce fun est la plus prisée. Cependant, il n'y a pas que les femmes, les hommes, eux-aussi se plaignent de la taille ou de la forme de leur "culotte". Ils aimeraient posséder de vrais gourdin? pour- selon eux, mieux afficher leur masculinité. Mais, il est temps dans tous les cas, d'affronter ses démons? de face en acceptant son corps tel qu'il est, sans autre forme de changement. Ne dit on pas que de nos différences naîtront nos ressemblances. Comprenons une fois pour toute que ce n'est pas parce qu'on est petit ou maigre, ou gros que l'on ne peut pas apporter sa pierre au développement de l'espèce humaine. Ce sentiment de complexe qu'on a de soi-même, est souvent dû à l'image que nous gardons des autres. Hitler lui fuait ses démons en les exterminant. Ce complexe chez les femmes, survient à la vue de publicités dans les colonnes de magazines, où une touche de perfection et de finesse est apportée pour parfaire l'image des mannequins. Et aux produits dont on vente les mérites grossissants ou amaigrissants. Pour vaincre les complexes, il faut procéder par élimination. Il est vivement recommandé de penser à ce qu'on a de meilleur en soi, pour détruire la marge de défaut. En outre, il est conseillé de resserrer ses liens d'amitié. Parce qu'on retrouve vite la confiance quand on se sent aimer. Il faut sourire une à deux fois par jour à son ego devant la glace. Ce petit geste rigolo est une sorte de cure pour s'accepter soi-même. Si vous avez essayé tout ça et que le complexe demeure, sans se voiler la face chercher à voir un psy pour en parler.