mardi 29 mai 2007 par Le Patriote

Mme la marraine du séminaire,
Monsieur le ministre Hamed Bakayoko ;
Chers séminaristes,
Chers invités et chers militants venus en grand nombre pour soutenir l'action qui est mené ce matin ; Je prends la parole effectivement au nom du Président Alassane Dramane Ouattara. Et je vais vous lire littéralement les phrases qu'il m'a demandées de vous transmettre. Chers séminaristes,
Par la voix du Secrétaire général du RDR, je vous adresse mon soutien et tous mes encouragements pour les efforts que vous concédés, pour aller jour après jour vers un but que vous êtes fixé. Pour le travail que vous abattez, pour consolider les acquis importants de votre entreprise de presse. Je sais l'environnement institutionnel parfois hostile dans lequel vous avez à accomplir ce qui, pour la plupart d'entre vous, s'apparente à un véritable sacerdoce. L'exigence de la liberté d'informer, du devoir de vérité. Votre mérite n'en est que plus grand. Continuez ainsi de lutter pour la défense de vos droits, vos droits élémentaires d'exister et de vous exprimer. Je considère que vous vous en acquittez avec talent, avec courage et avec rigueur. Je vous exhorte à persévérer malgré les nombreux écueils sur votre chemin. Des écueils qui, souvent sont bien loin d'être naturels. L'espace de discussion que vous allez ouvrir, les échanges confraternels que vous aurez à l'occasion du séminaire. J'en suis certain, donnera à toutes les tendances, l'opportunité d'une saine et paisible confrontation des idées, marque distinctive qu'il en est de démocratie digne de ce nom. Bon séminaire. Je voudrais personnellement ajouter juste un petit mot pour terminer. Je pense sous l'autre aspect qui n'est pas l'aspect technique, j'ai une petite partie de mon coeur au Patriote. Ceux qui le savent, le savent donc. Je voudrais simplement rappeler que pendant longtemps, pendant que je faisais mes recherches, avant la naissance de Le Patriote, un jeune journaliste m'a accompagnait parfois sur les pistes difficiles du Sanwi. Je crois s'il se reconnaît, il a le devoir de se lever et de se présenter. Charles. A l'époque, il n'avait pas cette carrure. Il n'avait pas cette résistance. Et parfois quand on était en train de travailler, il dormait dans le car. Mais, cher Charles, vous savez combien mon estime, je peux le manifester quant de temps en temps, je passe vous saluer. Et quand je me précipite à l'hôpital, quand j'apprends que vous avez quelque chose. Vous êtes mes enfants et à ce titre, je vous encourage à aller loin et je vous donne ma bénédiction.
Je vous remercie.

www.225.ci - A propos - Plan du site - Questions / Réponses © 2023