Il faut dire que durant toute cette crise universitaire ces dernières années où les enseignants refusent d'enseigner dans les universités publiques, la LIDHO s'est illustrée très négativement. En lieu et place de défendre effectivement les droits des citoyens ivoiriens, la LIDHO a choisi le camp d'encourager la grève des enseignants en leur prêtant volontairement leur siège pour la tenue et la reconduite des grèves au fur et à mesure. C'est pour cela que les étudiants ont été suffisamment irrités et ont critiqué l'attitude de cette institution se disant défendre les droits du citoyen ivoirien. Et notre droit à l'Education où se trouve-t-il ? Donc si on apprend aujourd'hui que des étudiants mécontents sont allés casser le siège de la LIDHO, c'est une situation que je déplore mais pour le moment je n'ai pas encore les preuves que ce soit les étudiants qui aient cassé le siège de la LIDHO.
Propos recueilli sur
RFI par Jean Prisca