samedi 15 décembre 2007 par Le Nouveau Réveil

Nous, Mme Yao-Kouamé Arkhurst Marie Félicité ; 1er Président de la Cour d'Appel d'AbidjanOrdonnons () la suspension de l'exécution de l'ordonnance N°1697/07 rendue par le Tribunal de 1ère Instance, et ce, jusqu'à ce que la Cour d'Appel vide sa saisine ". Cette décision est intervenue, le 12 décembre dernier. Au dire du directeur général de Alink Telecom, Roch Coulibaly, "c'est le 27 octobre 2007, que François Ahouassa, président de la Mutuelle syndic des résidents Sideci des II-Plateaux, a assigné la société en justice afin qu'un expert soit désigné pour déterminer si oui ou non nos antennes sont nocives. Cette instance n'a pas statué sur l'objet et a décidé que nous et Ahouassa enlevions nos antennes. Et avec une astreinte d'1 million Fcfa, en cas de retard". Me Sery Lokpo, Avocat de l'entreprise, a rejeté cette décision du Tribunal. Aussi, le Dg a-t il tenu à rassurer les clients de la société quant au fonctionnement normal de ses services. Le directeur administratif et financier, Marc-Arthur Pomoin, a relevé que si des personnes devraient mourir de la nocivité des antennes, ce serait, d'abord les travailleurs de la société. La direction a déclaré ne pas comprendre cet acharnement contre l'entreprise. Qui se réserve le droit de poursuivre en justice, Ahouassa, pour diffamation.

P.T.

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