lundi 26 novembre 2007 par Fraternité Matin

La ville qui accueille le Chef de l'État pour la première étape est en train de se parer de ses plus habits. La ville qui accueille le Chef de l'État pour la première étape est en train de se parer de ses plus beaux habits. Ferké est la première ville qui accueillera le Président de la République le 28 novembre, date à laquelle débutera sa visite d'Etat dans la région des Savanes. Une localité cosmopolite qui a aussi connu les affres de la guerre. Même si ici, les impacts visibles de celle-ci ne sautent pas aux yeux du premier venu, comme c'est le cas dans bien d'autres localités victimes de cette tragédie humaine. Il n'empêche que Ferké reste une ville qui en a été éprouvée. En témoigne la fermeture des services publics qui fort heureusement rouvrent progressivement leurs portes grâce au retour de l'administration centrale; celle des banques également ainsi que la disparition de certaines activités d'utilité publique. Son hôpital général qui fonctionne ne donne toujours pas entière satisfaction aux populations, pressées du reste de voir débuter les travaux de sa réhabilitation. Il en est de même de la mairie qui se contente d'enregistrer des naissances sans plus. Pour les dossiers importants, nous sommes obligés de nous rendre à Abidjan, avec toutes les contraintes que cela comporte tant au niveau du déplacement que de notre séjour dans la capitale économique, nous confie avec une pointe d'amertume M. Silué Yaya, commerçant de volailles. Comme lui, nombre d'autres habitants de Ferké déplorent aussi la situation de l'école qui affirment-ils, ne fonctionne pas comme il se doit.
Cependant, ainsi que nous l'a révélé le préfet du département, M. Dosso Adama, Ferké fait petit à petit sa mue, pour véritablement s'insérer dans le processus de paix amorcé à travers l'Accord politique de Ouagadougou. La ville essaie d'oublier le passé en remettant à neuf les bâtiments construits en bordure des principales artères de la ville et qui avaient été abandonnés par leurs occupants. C'est donc dans ce mouvement de normalisation tous azimuts de la vie à Ferké que les filles et les fils de cette localité vont accueillir le Chef de l'Etat. Un évènement qui ne leur déplaît guère. Bien au contraire, de l'avis des uns et des autres, la venue de Gbagbo dans leur circonscription revêt une signification particulière: Ça veut tout simplement dire que la guerre est finie. Car on n'avait jamais imaginé qu'il accepterait un jour de nous rendre visite, soutient Mlle Coulibaly Mariam, coiffeuse.
Toutefois, au-delà de la symbolique de paix que l'on attache à cette visite du Président de la République à Ferké, il y a également la noble occasion que ses habitants voudraient saisir pour lui faire part de leurs préoccupations de développement; préoccupations sans doute, nombreuses et de divers ordres, que la guerre a malheureusement contribué à accentuer l'urgence. Aussi, indique avec beaucoup d'espoir M. Yéo Fangadjoudori Georges: Nous allons certainement trouver une oreille attentive auprès du Président de la République, quant à l'érection de certains gros villages en sous-préfectures ou communes rurales pour véritablement redynamiser leur développement. Nous croyons aussi que nous pourrons obtenir de lui, la possibilité pour notre Conseil général de doter de gros villages centres, de dispensaires et de maternités. Je peux à titre d'exemple citer le cas de Pélédiokaha, qui est situé à 30 km de Ferké, où il se pose chaque jour aux populations d'énormes difficultés d'évacuation de leurs malades sur l'hôpital général du chef-lieu du département.
Au total, Ferké se fait belle et surtout avenante, à travers notamment l'entretien de ses rues, le nettoyage des accotements de ses principales artères envahies par la broussaille, la remise en état de quelques édifices publics, l'aménagement et l'éclairage de la grande place publique, devant abriter le meeting du Chef de l'Etat et où sont attendus plus de 25000 personnes. Le ministre Amon Tanoh Marcel que nous avons rencontré sur ce chantier s'est d'ailleurs montré très confiant, quant au parfait déroulement des travaux et à la livraison de ce cadre dans le délai prescrit.
Repères
EMEUTE. Laurent Dona-Fologo a été accueilli par une population en liesse. Accompagné de son épouse, M. Fologo a créé l'émeute dans la ville de Korhogo que son cortège composé de plusieurs véhicules et d'une centaine de motos a traversé pendant plus d'une heure.
DANSES. C'est une foule de danses qui a accueilli le président du Conseil économique et social, Laurent Dona-Fologo, au foyer des jeunes de Sinématiali. Des danses tellement nombreuses qu'elles n'ont pu se produire toutes. A tout le monde, Fologo a donné rendez-vous mercredi 28 novembre, à Péguékaha, pour réserver un accueil des plus chaleureux au Président Laurent Gbagbo.
PLUIE. Une fine pluie a arrosé la rencontre de Laurent Dona-Fologo avec ses parents, la première du genre depuis le déclenchement de la crise en 2002. Une fine pluie que beaucoup de participants au meeting ont considérée comme une bénédiction de Dieu. COHESION. C'est dans une parfaite cohésion que des éléments des Forces de défense et de sécurité (FDS) de Côte d'Ivoire et des Forces armées des Forces nouvelles (FAFN), ont assuré la sécurité du meeting de Laurent Dona-Fologo à Sinématiali. L'unité des FAFN qui a rendu les honneurs militaires au président du Conseil économique et social est venue de Ferké. Elle était sous le commandement du sergent Luc Yéo.
DELEGATION. Le secrétaire général du Rassemblement pour la paix (RPP), Ouattara Gnonzié, était à la tête d'une forte délégation de ce mouvement à Sinématiali pour marquer son soutien à son président-fondateur Laurent Dona-Fologo.
Option : Vision commune
D'aucuns vous le diront sans le moindre détour. Tandis que d'autres y mettront un peu plus de subtilité. Mais, quelle que soit la manière choisie, toutes les populations de la région des Savanes sont à ce jour unanimes pour dire que: la vie, leur vie doit redevenir normale. Certes, avec des appréciations différentes, elles ont su s'adapter à tous ces nouveaux modes de vie à eux imposés par la guerre. Mais, n'est-ce pas d'ailleurs là le propre de tout être pensant qui veut éviter le péril en pareille circonstance ? Il y a eu de nouveaux riches, tout comme des personnes qui ont tout perdu, sinon l'essentiel de leurs biens. Certains individus ont découvert les inconvénients et avantages de nouveaux métiers, ou de simples pratiques quotidiennes qui leur assurent la pitance. D'autres se sont retrouvés aux côtés des insurgés armés. Des commerces ont fleuri, pendant que d'autres ont fermé. Bref, de cette guerre, chaque habitant de la région des Savanes saura très aisément vous faire plus d'une dissertation, sur sa perception des motifs, conséquences positives comme négatives. Toutefois, tous les développements qui en seront faits aboutiront à une conclusion commune : le retour à la normale. Tout le monde y croit de plus en plus, d'abord depuis que les préfets, sous-préfets et responsables des services publics ont été redéployés dans les circonscriptions administratives ayant connu la guerre. Ensuite, du fait de l'annonce de la visite d'Etat que le Président Gbagbo s'apprête à y effectuer. Un retour à la normale pour l'avènement duquel les populations de Ferké ont adopté un nouveau langage pour stigmatiser encore plus les affres de la guerre, que défendre une position ou un point de vue politique. C'est que la longue attente de la fin effective du conflit armé a fini par émousser tant d'ardeur en la matière. De même que les discours et promesses des politiques et autres protagonistes apparaissent davantage usés, vidés de toute certitude à leurs yeux. Seuls, ceux qui oeuvreront véritablement dans la noble et salutaire optique du retour à une vie normale, sauront incontestablement s'attirer les faveurs des populations de la région des Savanes. Les actes et propos aux relents partisans le sont désormais beaucoup plus par simple courtoisie. Ils sont dans leur grande majorité, assez loin d'avoir valeur de conviction.
Moussa Touré
Envoyé spécial
Focus/ Blé Goudé, secrétaire exécutif du COJEP : Aucun Ivoirien n'a le droit de faire échouer Ouaga?. Vous avez passé la nuit à Korhogo sans aucun problème. Mais nous croyons savoir qu'elle a été mouvementée Oui. Politiquement, elle a été très mouvementée. Elle a été parce que je ne suis pas venu en tourisme à Korhogo. Je suis venu pour travailler. Ainsi, de 22 h à 3 h 30 pour ne pas dire 4 h, nous avons travaillé avec des amis (rires). Travailler? Mais avec quels amis? Etes-vous allés dans des champs de coton?
(Rires) Non, non. Pas dans des champs de coton. J'ai eu un long entretien avec le ministre Konaté Sidiki et le chef d'état-major adjoint des Forces armées des Forces nouvelles, le commandant Wattao. Nous avons parlé politique, déblayé des chantiers tant du présent que du futur. Nous avons traité de dossiers qui touchent la Côte d'Ivoire. Nous avons analysé des pistes pour sortir notre pays des difficultés. Je salue l'esprit qui a entouré nos discussions. Justement, la dernière réunion du Comité d'évaluation et d'accompagnement (CEA) s'est heurtée à des blocages à Ouagadougou
Ecoutez, il peut toujours y avoir des difficultés; seulement, il ne faut pas les dramatiser. L'Accord de Ouaga a été tellement bien et vite signé qu'on oublie que comme tout accord, il peut connaître quelques couacs. Sauf qu'il faut se dépasser pour les surmonter. Dans tous les cas, nous sommes obligés de les régler. Nous avons dit que c'est une fierté que les Ivoiriens aient un accord par eux-mêmes et pour eux-mêmes. Aucun Ivoirien n'a le droit de faire échouer cet Accord. , Car il porte l'espoir de toute l'Afrique. Il faut minimiser le couac qui est arrivé récemment à Ouaga et que vous appelez blocage. Ce sont des choses qui peuvent arriver, je dirais même qui devaient arriver. Mais elles peuvent être surmontées.
Propos recueillis par
Pascal Soro
Envoyé spécial
Sinématiali: Fologo mobilise pour l'accueil de Gbagbo
Président du Conseil économique et social (CES), Laurent Dona-Fologo est aussi cadre de la région des Savanes. Et précisément de la sous-préfecture de Sinématiali dépendant du Département de Korhogo, première ville qui accueillera le Chef de l'Etat, le 28 novembre. En outre, Péguékaha, village du président du CES aura l'honneur de recevoir M. Laurent Gbagbo. Fort de tout cela, Fologo a choisi de s'impliquer pleinement dans l'organisation de cette visite d'Etat, en animant un grand meeting de mobilisation, hier dimanche, au centre culturel de Sinématiali.
Pour expliquer tout le sens de cette rencontre à ses parents, très enthousiastes de le retrouver après cinq ans d'absence pour raison de guerre, il passera par cette image qu'ils connaissent assez bien du reste dans trois jours, dira-t-il, le Président de la République sera là. Et comme les anciens le font dans nos villages, le matin avant de prendre le chemin des champs, ils se font toujours précéder d'un plus jeune, afin de nettoyer la voie, de sorte que la rosée ne les mouille pas. C'est parfaitement ce que je viens faire à présent, indique le président Fologo. Car, poursuit-il, la guerre est finie. Et cela résulte de la volonté du Président Laurent Gbagbo, qui a engagé le dialogue direct ayant abouti à la signature de l'Accord de Ouagadougou. Et c'est bien cet accord qui me permet d'être parmi vous aujourd'hui?, leur a déclaré M. Fologo. Ce que je n'ai pas pu faire pour l'enterrement de mon frère. Le président Fologo, qui a toujours inscrit ses initiatives politiques dans l'esprit de la légalité constitutionnelle, a vivement demandé aux nombreuses populations venues des villages de Sinématiali, de la ville de Ferké pour entendre son message, de s'apprêter à réserver un accueil digne de son rang au Président Laurent Gbagbo. Le faisant, elles exprimeront ainsi leur volonté d'aller à la paix, au développement. J'ai choisi la légalité, le Président Gbagbo m'a compris et m'a fait confiance. Partout où je suis allé, j'ai prôné la paix et la légalité et cette visite obéit également à ma conviction en la matière, a vivement déclaré M. Fologo. Tout en répétant plusieurs fois que la guerre qu'il a toujours condamnée est belle et bien finie. Cependant, précise-t-il: le temps n'est pas non plus au règlement de comptes, à la mise en cause d'un tel pour avoir détruit, volé et même tué. Car il faut à présent pardonner et se tourner résolument vers le développement de la Côte d'Ivoire conformément aux objectifs du millénaire. Cette visite que le Chef de l'Etat effectuera sous peu dans la région des Savanes, avec à ses côtés le Premier ministre Soro Kibafori Guillaume, fils de la région, est un symbole fort, qui devra définitivement sceller dans vos c?urs et vos esprits la paix et l'union retrouvée, leur a dit le président Fologo. Quant au reste, devait-il ajouter, soyez patients ainsi qu'avait l'habitude de le dire Félix Houphouet-Boigny mon maître. Parce que la guerre, finie toujours lentement. Pour finir le président Laurent Dona Fologo a exhorté les uns et les autres à la cohésion nationale, au pardon, au travail et à la fraternité pour que vive la Côte d'Ivoire, unie et indivisible. Avant de suivre cette intervention fortement appréciée du président du Conseil économique et social, jeunes, femmes et cadres ont tenu à lui exprimer tout leur attachement, pour toutes les actions qu'il a jusqu'ici menées en vue de conduire la Côte d'Ivoire à la paix effective. M. Coulibaly Adama, Mme Coulibaly Olga, ainsi que M. Coulibaly Namogo, respectivement porte-parole des jeunes, des femmes et des cadres, ont tour à tour magnifié le président Fologo pour ces actes de générosité à leur égard malgré les cinq années d'absence à leur côtés. Une absence qui aura fait passer les jeunes, dira M. Coulibaly Adama, pour de véritables orphelins.
Moussa Touré
Amon Tanoh, ministre de la Construction, de l'Urbanisme et de l'Habitat : Le site de la rencontre est prêt?
Le ministre de la Construction de l'Urbanisme et de l'Habitat, M. Amon Tanoh, a donné des assurances, vendredi à Ferké, quant à l'achèvement des travaux dans cette ville pour recevoir le Président de la République. Il n'y aura aucun problème, c'est sûr, tout sera prêt avant le jour J, nous a-t-il confié. Le ministre que nous avons trouvé sur la place du monument aux morts, site désigné pour accueillir le meeting dans cette localité, a toutefois avoué: Les délais sont relativement courts. Ce site, censé accueillir entre 20 mille et 25 mille personnes, précisera plus tard le préfet de Ferké, M. Dosso Adama, doit être doté de points d'eau potable et de latrines. De même que l'éclairage public doit y être renforcé. En attendant, le ministre Amon Tanoh se réjouit de la mobilisation des populations et des techniciens qui sont à pied d'oeuvre pour donner à la ville une allure digne des grandes cérémonies. Pour l'autorité préfectorale, cette mobilisation générale des populations est la résultante d'une campagne d'information et de sensibilisation qu'il a entreprise dès l'annonce de la visite du Chef de l'Etat. Selon M. Dosso Adama, tout le département est mobilisé pour réserver au Président Laurent Gbagbo un accueil des plus chaleureux. Pour ce faire, a-t-il indiqué, des commissions locales ont été mises sur pied sous sa supervision. Seulement, a précisé M. Dosso, la plupart de ces commissions se heurtent au manque de moyens pour prendre véritablement leur envol (Nous étions au vendredi 23 novembre). Cependant, certaines d'elles ont commencé à travailler. Ainsi, les jeunes gens et les femmes sont déployés dans la ville pour curer les caniveaux, balayer les rues, couper les herbes. Mais le gros ?uvre, a précisé le préfet de Ferké, attend les engins pour être entamé. Selon lui, le reprofilage des rues, le renforcement de l'éclairage public, la réfection des locaux de la préfecture, en plus de l'aménagement du site du meeting, restent notamment les travaux les plus urgents à exécuter. En attendant qu'elles soient exposées au Chef de l'Etat de manière exhaustive, le premier responsable administratif du département de Ferké résume les préoccupations des populations en l'ouverture de pistes rurales et villageoises, la remise en état des structures sanitaires, des établissements scolaires, des édifices publics, l'adduction d'eau et l'électrification rurale.
Pascal Soro
Envoyé spécial à Ferké
Albert Mabri Toikeusse, ministre des Transports : Plus de 300 véhicules
sont nécessaires?La Commission transport du comité national d'organisation da la visite du Chef de l'Etat dans le nord a tenu deux réunions, samedi à Korhogo. Selon le ministre des Transports et président de ladite Commission, M. Albert Mabri Toikeusse, il s'est agi pour ses collaborateurs et lui d'évaluer les besoins en moyens de déplacement. Les sous-commissions locales au niveau des quatre départements ont exprimé leurs besoins pour le transport des populations, des danses, de la chefferie traditionnelle. Nous avons ensuite enregistré les demandes des autres commissions telles que la commission mobilisation, l'exploration et des FAFN qui assureront la sécurité. L'ensemble de ces besoins est évalué à plus de 300 véhicules, a expliqué le ministre Mabri Toikeusse joint par téléphone.
Le président de la Commission transport a ensuite rencontré les transporteurs de la région des Savanes afin qu'ils lui apportent leur contribution. Au-delà des prestations de la Sotra et de la Sitarail, nous avons approché les opérateurs d'ici pour évaluer leur disponibilité et les prix. Nous pouvons affirmer qu'à ce niveau, il n'y a pas d'inquiétude. Les transporteurs ont répondu favorablement à notre attente. Il nous faut désormais les moyens, a-t-il indiqué. Une dernière réunion de la Commission transport est prévue aujourd'hui pour arrêter définitivement les modalités de dispatching des véhicules.
D. Gouly
Communiqués
? Le Premier ministre, M. Soro Kigbafori Guillaume, président du Comité d'organisation de la visite d'Etat du Président de la République dans la Région des Savanes, invite les présidents de commission, leurs membres ainsi que les responsables des Comités départementaux d'organisation à une importante réunion, le lundi 26 novembre 2007, à 12h, au Palais de France, à Korhogo.
Compte tenu de l'importance de l'ordre du jour, la présence de tous est nécessaire.
Fait à Abidjan, le 25 novembre 2007
Pour le Premier ministre
P/O le 1er vice-président du Comité d'organisation
M. Mamadou Koné, Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'Homme
? Le Ministre des Transports, président de la commission transport de la visite du Président de la République au nord, informe les transporteurs et les usagers de la route qu'en raison de cette visite d'Etat, la circulation sera interdite, dans les deux sens, aux véhicules poids lourds et remorques, sur les axes Abidjan-Ouangolo et Abidjan-Tengrela, selon les indications suivantes :
DATES: Du mardi 27 novembre à 8H - au mercredi 28 novembre à 12H
TRAJETS: 1er axe: Abidjan - Yamoussoukro - Ferké - Ouangolo
2e axe: Abidjan - Katiola - Korhogo - Boundiali
DATES: Le Mercredi 28 novembre de 12H à 20H
TRAJETS: Katiola - Ferkessédougou - Ouangolo
DATES: Le Jeudi 29 novembre de 4H du matin à 22H
TRAJETS: Kanawolo - Korhogo - Tengrela
DATES: Du vendredi 30 novembre à 4H du matin - au samedi 1er décembre à 12h
TRAJETS: 1er axe: Boundiali - Bouaké - Abidjan
2e axe: Ferkessedougou - Yamoussoukro - Abidjan
Le ministre des Transports invite les préfets et les Forces de défense et de sécurité à veiller au strict respect de ces dispositions visant à améliorer la fluidité de la circulation et la sécurité sur ces trajets qui vont enregistrer un nombre élevé de véhicules sur la période du mardi 27 novembre au samedi 1er décembre 2007.

Fait à Abidjan, le 25 novembre 2007
Dr Albert Toikeusse Mabri

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